Après un « Killing Joke » déja très bon, en 2003, d’obédience métal-indus mais accessible bien que marqué par la patte KILLING JOKE, la troupe de Jaz Coleman remet le couvert avec un « Hosannas from the basements of hell » sombre, opaque et non-policé, à la manière de « Extremities, dirt… » ou encore « Democracy »). Et là, on n’est pas loin, pas loin du tout,…

Avant le naufrage « Brighter than a thousand suns » et « Outside the gate », et après un « Fire dances » rageur et tribal, KILLING JOKE réussit ici un dosage entre son originel et new-wave bien plus convaincant et abouti que le disque faisant l’objet de mon article précédent. Et cette réédition, qui apporte pas moins de neuf titres en plus, témoigne parfaitement de…

Grand adorateur de la Blague qui Tue de Jaz Coleman, j’avoue ressentir une déception assez conséquente à l’écoute de ce disque, trop ancré dans son époque, trop ouvertement imprégné de cette new-wave synthétique qui, si elle débouche parfois sur de belles réussites, ne sied pas à Killing Joke et l’éloigne trop de son répertoire originel, plus punk, plus cold, plus…

Venant de San Francisco, Enablers se compose de musiciens expérimentés, ayant roulé leur bosse dans diverses formations (Swans, Tarnation, Morning Champ etc…) et trouvant ici un terrain d’expression commun et particulier.Particulier, dans le sens ou dans cette formation, c’est un…poète, Pete Simonelli, qui officie au chant et vient poser sa prose narrative, récitée d’une voix grave et prenante, sur la…