Moment fort de la vie culturelle amienoise, le festival « Musiques de jazz et d’ailleurs » accueillait, pour la seconde fois depuis ses débuts, ce jeudi 26 mars, les GENERAL ELEKTRIKS, formation survoltée menée de main de maitre par RV Salters. Et, outre la présence de ce musicien plus qu’expérimenté, on notait celles de Jessie Chaton (Fancy) à la basse, et de Sébastien Martel à la guitare. Sans oublier deux autres intervenants, aux percus et claviers, eux aussi d’une habileté à toute épreuve.
Forts de ce line-up pour le moins attrayant, les GENERAL ELEKTRIKS allaient nous régaler d’un show diablement funky, pêchu et dansant, au sein duquel une somme d’éléments musicaux disparates cohabitèrent de la meilleure des façons. Le chant de Salters, mêlé à ses parties de claviers délirantes et magistrales, ainsi qu’à sa voix caractéristique et à la trame musicale groovy concoctée par ses acolytes (superbes interventions de Seb’ Martel à la guitare, entre autres faits marquants liés à l’évènement), fait mouche et met en mouvement un auditoire très vite conquis, subjugué par le jeu de scène d’un groupe qui transcende les versions albums de ses titres en leur donnant un allant renversant et une vigueur rock bienvenue.
De surcroît, le magnétisme d’un Jessie Chaton faisant corps avec sa basse, doublé des danses et sauts du « maître » RV, ajoutent à l’intérêt scénique du quintet, qui pour l’occasion nous a joué une bonne partie de ses deux albums, rendant même hommage à Bowie le temps d’un « Ashes to ashes » repris façon G.E.
Chacun des morceaux interprêtés fut donc au top, aucun ne pouvant être dissocié de ce tout cohérent et entraînant, même si j’avoue pour ma part un gros faible pour un « Helicopter » et un « Engine kickin’ » irrésistibles. Le « mix » entre funk, rock, touches vintage et modernité bien maitrisée, le brassage stylistique proposé est donc particulièrement séduiant et prend toute sa dimension dans les conditions du live, ce concert en étant un exemple frappant et qui ne nous laissera pas qu’un souvenir fugace, loin s’en faut.
Super show donc, sans aucun doute l’un des temps forts du festival 2009.
Forts de ce line-up pour le moins attrayant, les GENERAL ELEKTRIKS allaient nous régaler d’un show diablement funky, pêchu et dansant, au sein duquel une somme d’éléments musicaux disparates cohabitèrent de la meilleure des façons. Le chant de Salters, mêlé à ses parties de claviers délirantes et magistrales, ainsi qu’à sa voix caractéristique et à la trame musicale groovy concoctée par ses acolytes (superbes interventions de Seb’ Martel à la guitare, entre autres faits marquants liés à l’évènement), fait mouche et met en mouvement un auditoire très vite conquis, subjugué par le jeu de scène d’un groupe qui transcende les versions albums de ses titres en leur donnant un allant renversant et une vigueur rock bienvenue.
De surcroît, le magnétisme d’un Jessie Chaton faisant corps avec sa basse, doublé des danses et sauts du « maître » RV, ajoutent à l’intérêt scénique du quintet, qui pour l’occasion nous a joué une bonne partie de ses deux albums, rendant même hommage à Bowie le temps d’un « Ashes to ashes » repris façon G.E.
Chacun des morceaux interprêtés fut donc au top, aucun ne pouvant être dissocié de ce tout cohérent et entraînant, même si j’avoue pour ma part un gros faible pour un « Helicopter » et un « Engine kickin’ » irrésistibles. Le « mix » entre funk, rock, touches vintage et modernité bien maitrisée, le brassage stylistique proposé est donc particulièrement séduiant et prend toute sa dimension dans les conditions du live, ce concert en étant un exemple frappant et qui ne nous laissera pas qu’un souvenir fugace, loin s’en faut.
Super show donc, sans aucun doute l’un des temps forts du festival 2009.