Après un premier album dont l’énergie
punky, les mélodies avenantes et les tubes avaient fait leur petit
effet, puis un second déja moins bon, voilà que Kaiser Chiefs
s’enfonce d’avantage avec ce troisième opus qui sombre très vite dans
une redite ennuyeuse et dénuée de tout intérêt mais aussi, et surtout,
sans âme et sans énergie.
On croirait le groupe oeuvrant dans une
sorte de pilotage automatique, de certitude de plaire, de …vendre?,
et même ses tentatives de rendre son rock plus dansant (« You want history« ) ne parviennent pas à atteindre l’excellence du premier opus.
On ne fait ici illusion que l’espace de quelques titres percutants et inspirés (« Never miss a beat« , « Can’t say what I mean » et ses synthés efficaces), et même les interventions extérieures (à part peut-être celle de Lily Allen sur « Always happens like that« , et encore, ou celle de Sway sur un « Half the truth »
emmené par une batterie en rafales) tombent à plat et ne peuvent sauver
ce disque d’un manque d’inspiration trop criard pour que l’on puisse
apprécier cet album de façon pleine et incontestée.
On pourra se
dire que malgré cela, les compos des Anglais gardent un certain cachet,
un certain pouvoir de séduction, et sont au final plutôt accrocheuses.
Certes….mais d’un groupe tel que celui-ci, on est en droit
d’escompter un résultat plus original et pour le moins novateur, et non
pas basé sur la répétition d’une recette drainant un public conséquent,
fut-elle dotée d’éléments se voulant « nouveaux ».
Copie à revoir
donc, en espérant que le groupe, à l’avenir, réinstaure une certaine
vigueur et ne dilue pas celle-ci dans des exercices baclés et faiblards
de « rénovation » de son rock qui arrive même, ici, à y perdre une partie
de son identité et de son charme british.
punky, les mélodies avenantes et les tubes avaient fait leur petit
effet, puis un second déja moins bon, voilà que Kaiser Chiefs
s’enfonce d’avantage avec ce troisième opus qui sombre très vite dans
une redite ennuyeuse et dénuée de tout intérêt mais aussi, et surtout,
sans âme et sans énergie.
On croirait le groupe oeuvrant dans une
sorte de pilotage automatique, de certitude de plaire, de …vendre?,
et même ses tentatives de rendre son rock plus dansant (« You want history« ) ne parviennent pas à atteindre l’excellence du premier opus.
On ne fait ici illusion que l’espace de quelques titres percutants et inspirés (« Never miss a beat« , « Can’t say what I mean » et ses synthés efficaces), et même les interventions extérieures (à part peut-être celle de Lily Allen sur « Always happens like that« , et encore, ou celle de Sway sur un « Half the truth »
emmené par une batterie en rafales) tombent à plat et ne peuvent sauver
ce disque d’un manque d’inspiration trop criard pour que l’on puisse
apprécier cet album de façon pleine et incontestée.
On pourra se
dire que malgré cela, les compos des Anglais gardent un certain cachet,
un certain pouvoir de séduction, et sont au final plutôt accrocheuses.
Certes….mais d’un groupe tel que celui-ci, on est en droit
d’escompter un résultat plus original et pour le moins novateur, et non
pas basé sur la répétition d’une recette drainant un public conséquent,
fut-elle dotée d’éléments se voulant « nouveaux ».
Copie à revoir
donc, en espérant que le groupe, à l’avenir, réinstaure une certaine
vigueur et ne dilue pas celle-ci dans des exercices baclés et faiblards
de « rénovation » de son rock qui arrive même, ici, à y perdre une partie
de son identité et de son charme british.