Le 19 septembre 2024, la Rock School Barbey accueillera en Barbey indie club le groupe américain Bonny Doon et, en partenariat aves la salle, Muzzart met en jeu 2 places pour le concert! La première partie sera assurée par Raoul Vignal.
Pour participer au concours et tenter de gagner 2 places pour le concert de Bonny Doon à la Rock School Barbey il suffit de nous envoyer un mail à l’adresse: concoursmuzzart@gmail.com avec en objet “concours Bonny Doon” et en indiquant vos nom et prénom dans le mail. Nous vous remercions de ne participer que si vous êtes certains de pouvoir vous rendre au concert. Le tirage au sort des gagnants aura lieu le lundi 16 septembre et les gagnants seront prévenus par mail.
extrait de l’événement Facebook:
Bonny Doon; « Issu de la scène punk de Detroit (notamment au sein des groupes Tyvek, Growwing Pains et PRC), Bonny Doon s’est détaché de l’âpreté du style pour se tourner vers un indie folk-rock rappelant le soleil californien. Plusieurs années à assurer le backing band et la co-composition auprès de Waxahatchee ont permis au groupe d’affiner et d’affuter ses qualités mélodiques et forger un style bien à lui. Let There Be Music, sorti en juin dernier, a mis tout le monde d’accord avec ses compositions Folk-Rock laid-back aux accents Americana qui peuvent lorgner du côté de Laurel Canyon, avec des chansons douces et sincères, marquées par leur maîtrise mélodique, oscillant entre retenue et vulnérabilité qui ne sont pas sans évoquer Kevin Morby, Woods, Real Estate et même Kurt Vile et Silver Jews pour la langueur et le flegme. »
Raoul Vignal: « “L’intime était presque parfait » titrait le journal Libération à l’occasion de la parution du troisième album du musicien lyonnais Raoul Vignal. La perfection, assurément, nous n’en sommes pas loin. Enregistré en retrait de l’agitation urbaine, « Years in Marble » égrainait ses compositions envoutantes et hypnotiques, ses mélodies évanescentes et ses arpèges cristallins. Une musique à la fois hors du temps et profondément actuelle. Si les ombres de certaines figures tutélaires planent encore, le musicien s’en émancipe peu à peu et développe un univers qui lui est propre. »