Le festival Musik à Pile fêtera ses 25 ans ce weekend des 2 et 3 juin 2023! Pour cette nouvelle édition, le festival se tiendra à nouveau au parc Bomâle de Saint Denis de Pile (proche Libourne) et accueillera entre autres: Charlie Winston, Skip The Use et Zaho de Sagazan! Au programme donc: des concerts mais aussi des jeux, un loto et de la musique l’après-midi du samedi. Retrouvez le programmation complète ci-dessous et toutes les infos sur le site officiel de Musik à Pile. Billetterie en ligne.
extrait de l’événement Facebook:
vendredi 2 juin 2023
Flanagan: « Si le rock est à la racine de son univers, Flanagan ne se fixe aucune limite et jongle avec ses influences multiples ! Des Beatles, à Otis Redding, en passant par Le Wu-Tang… il déroule au fil de ses morceaux une palette musicale forte et assumée. Ses compositions tantôt garage, agrémentées de mélodies pop et parfois trap ; tantôt psychédéliques, mêlées à des accents blues hip-hop ; et ses textes honnêtes, font de lui un artiste particulièrement singulier !
Flanagan accompagne cette année plusieurs groupes dans l’écriture et la composition de chansons. Et c’est
le grand moment pour eux : la scène ! Un grand projet artistique avec le Collège Marguerite Duras à Libourne, le CCAS de Guîtres et l’espace jeunes de Saint Denis de Pile »
Zaho de Sagazan: « Zaho de Sagazan c’est une voix singulière et puissante, de celles qui font dresser nos poils. Un timbre grave porté par des rythmes électroniques qui côtoient la techno berlinoise et l’electronica française. Passant des murmures aux cris, l’artiste de 21 ans s’amuse, se raconte et dissèque les travers humains sur des textes en français d’une sincérité tranchante. Ses mots, drapés de mélodies puissantes à la mélancolie subtile, nous plongent dans une intimité partagée, où l’on goûte à la délicieuse liberté de danser, de penser et de s’émouvoir. »
Charlie Winston: « Avec son identité musicale forte, folk et rock à la fois, et sa nature prompte au vagabondage, Charlie Winston se livre à travers son cinquième album « As I Am ». Entre quête de soi et besoin de l’autre, c’est sans doute l’album le plus introspectif de sa carrière. C’est dans le huis-clos forcé des confinements, sous l’injonction permanente de la distanciation sociale, que Charlie Winston a conçu son nouvel opus, fruit d’une collaboration aussi inattendue que généreuse avec Vianney. Le chanteur anglais s’y présente sans masque et n’a jamais autant pratiqué la mise à nu : « Ce titre, As I Am, a la valeur d’un mantra. C’est un moyen de rappeler qui je suis et ce que je fais ». Et c’est sur scène que ce message universel et bienveillant prendra toute son ampleur, dans la ferveur des concerts d’une tournée franco-européenne. »
samedi 3 juin 2023
Romane: « A seulement 23 ans, Romane détient déjà quelques atouts qui ne laissent indifférents ni la critique, ni le grand public. Sa voix, son charisme, laissent à penser un futur très prometteur pour la jeune artiste, dont on se réjouit d’accueillir le talent sur scène ! D’origine franco-gabonaise, Romane grandit dans un environnement imprégné de musique noire américaine et c’est à l’âge de 7 ans qu’elle écrit sa première chanson ! Aujourd’hui véritable soulgirl, elle chante en anglais ses titres inspirés des icônes soul anglo-saxonnes telles que Amy Winehouse, Bill Withers, Aretha, Sam Cooke ou encore Otis Redding, mais aussi des artistes RnB comme Aaliyah, Jhene Aiko, SZA, Rosalia, Kid Cudi et des chanteuses à voix telles que Rihanna, Adèle, Tracy Chapman. »
Skip The Use: « Avec leur nouvel album, les Lillois annoncent un « désordre humain » : un bel avant-goût de ce que nous réservent en live ces bêtes privées de scène pendant deux ans.
Fraîchement réunis en 2019 pour l’excellent Past & Future, Skip The Use avait été stoppé net dans son élan par la pandémie. Mais il en fallait plus pour refroidir ces bourreaux de travail. Entourés de deux nouveaux acolytes, le chanteur Mat Bastard et le guitariste Yan Stefani, noyaux durs du groupe, planchent sur un nouvel album à l’écriture plus collective et aux sonorités plus audacieuses. Avec de plus en plus de titres en français et des featurings rafraîchissants, Human Disorder prouve que le quartet peut continuer à étonner sans se renier : l’énergie et les tubes à scander haut et fort sont toujours taillés pour nous faire danser le poing levé. »
Kalika: « Comment raconter, avec humour et sensibilité, à la fois le désir, la rage et l’amour ? Avec ses chansons en français en forme de coups de griffes vernies, Kalika arrive à jouer de ses paradoxes. Elle tire son surnom de Sara-la-Kali, sainte vénérée par la communauté des Gitans de Sainte-Marie-de-la-Mer comme de Kali, déesse indienne de la destruction et de la reconstruction. Une véritable Catherine Ringer des temps modernes, qui tape de la voix, le regard crépitant de rage mais le sourire barrant son visage. Ses mélodies électro-pop fracassantes invitent moins au spleen qu’au lâcher-prise, et laissent même place à une jouissive hystérie collective sur un dancefloor détrempé ! »