C’est une soirée post punk que vous propose la Rock School Barbey le lundi 13 février 2023 avec à l’affiche: les anglais Hotel Lux et les bordelais Teeth! Originaire de Portsmouth, le groupe Hotel Lux vient tout juste de sortir son premier album: Hands Across The Creek (27 janvier 2023)! Amateurs de groupes tels que Shame ou Fontaines DC, ne manquez pas cette découverte en live! Concert en formule Barbey Indie Club. 12/15 euros. ouverture des portes à 20H30. événement Facebook du concert.
extrait de l’événement Facebook:
Hotel Lux: « En seulement une poignée de morceaux rageurs, Hotel Lux synthétise toute l’Angleterre. L’écoute de « The Last Hangman » (entendu sur la BO de Peaky Blinders), « English Disease » ou « Ballad you & I » suffit pour deviner l’avenir radieux qui s’annonce.
Le groupe de Portsmouth pratique le post-punk façon Ken Loach, en documentant une Angleterre working class, dénonçant le sort réservé aux classes laborieuses, et prennent un malin plaisir à critiquer les habitudes des britanniques.
Hotel Lux montre que le punk anglais peut s’extirper des tendances avec un propos original en lien direct avec la culture de leur pays, chantant avec fougue l’ennui et le désœuvrement. Quoique dans l’ombre d’ainés plus illustres (Idles, Shame, Fontaines D.C.) ils ont bien le potentiel pour leur mettre une sacré branlée. »
Teeth: « Après un premier album remarquable en 2021: ‘J’ai Raté Ma Vie’, Teeth – emmené par la chanteuse Pierre Gisèle, confirme ce fort postulat avec ‘Trauma’ qui repousse les limites de son premier effort.
Sur la cartographie du rock indé, il semble bien difficile de localiser le groupe bordelais qui navigue entre spoken word, refrains catchy presque power pop, inspirations noisy et longues plages progressives. Teeth est un groupe qui ne s’embête pas à chercher une étiquette, et c’est justement cette fraîcheur qui en fait une formation si atypique. A la frontière entre la poésie beat et la pop music, l’album est arty mais jamais pédant, complexe mais toujours accessible, expérimental et néanmoins musical. Cette volonté de ne pas choisir entre des refrains irrésistibles (“Dogsheaven”, “Soft Lover”) et des voyages plus ambitieux (“Thé à la Menthe”, “La Pluie”) rappelle sans hésitation le Stereolab de la grande époque, mais cette fois, avec une production impeccable. Cérébral comme Black Country New Road, clinique comme Squid et émotionnel comme DIIV… »