Le groupe belge Girls In Hawaii a récemment sorti un nouvel album intitulé Nocturne (septembre 2017) et sera en concert au Krakatoa de Mérignac ce jeudi 23 novembre 2017! La première partie du concert sera assurée par Ropoporose et c’est à ne pas manquer! Concert à 20H. 22/23/25 euros.
Girls In Hawaii(Indie Pop / Belgique)
« Il y a eu Everest, l’album dans les hauteurs.
Puis Hello Strange, sa version complètement réécrite pour un live unique.
C’était il y a près de 3 ans.
Girls in Hawaii revient le 29 septembre, avec Nocturne.
Nouvel album, nouveau chapitre. Leur vision du monde, actuelle, contrastée, et aux couleurs musicales différentes.
Semblable et différent, mélodieux mais risqué, ce sera un album de nuit, un album de clairs obscurs, d’ombres et d’autres lumières.
Nocturne est à nouveau produit par Luuk Cox, déjà aux manettes de Everest.
La pochette est basée sur une � »uvre du plasticien anglais Tom Hammick.
Un premier titre, »This Light », et son clip sortie le 29 mai.
Une forme de mise en bouche, une invitation en douceur à pénétrer dans la nuit.Le clip est signé par Claude Schmitz, cinéaste et metteur en scène, décalé, neuf, et excitant. »
« Il y a eu Everest, l’album dans les hauteurs.
Puis Hello Strange, sa version complètement réécrite pour un live unique.
C’était il y a près de 3 ans.
Girls in Hawaii revient le 29 septembre, avec Nocturne.
Nouvel album, nouveau chapitre. Leur vision du monde, actuelle, contrastée, et aux couleurs musicales différentes.
Semblable et différent, mélodieux mais risqué, ce sera un album de nuit, un album de clairs obscurs, d’ombres et d’autres lumières.
Nocturne est à nouveau produit par Luuk Cox, déjà aux manettes de Everest.
La pochette est basée sur une � »uvre du plasticien anglais Tom Hammick.
Un premier titre, »This Light », et son clip sortie le 29 mai.
Une forme de mise en bouche, une invitation en douceur à pénétrer dans la nuit.Le clip est signé par Claude Schmitz, cinéaste et metteur en scène, décalé, neuf, et excitant. »
Ropoporose(Rock / France)
« Après le succès inattendu de leur premier album, « Elephant Love » sorti sur le tard en 2015, le tout jeune duo Ropoporose avait un peu la pression. Le cap du deuxième, le disque de la maturité, tout ça. Fuck it, oui. Romain (batterie et tout un tas d’autres trucs) et Pauline (chant, guitares et tout un tas d’autres trucs aussi) -les deux frangin-frangine qui se planquent derrière ce nom-galipette- continuent de faire comme si le monde entier ignorait leur existence. Ce qui n’est pas tout à fait faux non plus. Mais c’est sans doute ce qui leur réussit le mieux à en croire le contenu de ce « Kernel / Foreign Moons », leur dernier album sorti en Février 2017. Leur mélange jubilatoire de kraut, d’indie-pop, de noise, de math-rock, de lo-fi et de bubblegum réussit toujours la prouesse de faire siffloter des morceaux pourtant parfois alambiqués, remplis de cassures et de contrepieds, comme si c’étaient des bluettes de brit-pop. Tout paraît simple, évident, naturel. Alors que c’est souvent inventif, ambitieux, maîtrisé. »
« Après le succès inattendu de leur premier album, « Elephant Love » sorti sur le tard en 2015, le tout jeune duo Ropoporose avait un peu la pression. Le cap du deuxième, le disque de la maturité, tout ça. Fuck it, oui. Romain (batterie et tout un tas d’autres trucs) et Pauline (chant, guitares et tout un tas d’autres trucs aussi) -les deux frangin-frangine qui se planquent derrière ce nom-galipette- continuent de faire comme si le monde entier ignorait leur existence. Ce qui n’est pas tout à fait faux non plus. Mais c’est sans doute ce qui leur réussit le mieux à en croire le contenu de ce « Kernel / Foreign Moons », leur dernier album sorti en Février 2017. Leur mélange jubilatoire de kraut, d’indie-pop, de noise, de math-rock, de lo-fi et de bubblegum réussit toujours la prouesse de faire siffloter des morceaux pourtant parfois alambiqués, remplis de cassures et de contrepieds, comme si c’étaient des bluettes de brit-pop. Tout paraît simple, évident, naturel. Alors que c’est souvent inventif, ambitieux, maîtrisé. »