An end to camaraderie et quelques autres déploient malgré tout un cheminement digne d’intérêt et font se succèder les phrasés et les climats avec réussite, mais les Anglais auraient gagné à chanter une partie de l’opus, chatoyant sur Words for Arabella , bien que prévisible dans es montées en puissance qu’on finit par pressentir un peu trop aisément. L’alternance des atours musicaux de Farewell, Sarajevo, sa batterie saccadée, font illusion, mais s’en tiennent à ces promesses qui ne se confirment pas.
En fin de parcours, Relative minors présente une seconde partie énervée, percutante, qui accroche l’oreille, avant la pluie de riffs drus de To the skies from a hillside à laquelle succèdent des plages apaisées. Maybeshewill oscille entre esquisses inachevées, au potentiel indéniable, et motifs convenus, sans surprise, pour au final livrer une « galette » fade, en tout cas largement perfectible, néanmoins ponctuée par ces rares minutes démonstratrices de capacités ici insuffisamment exploitées.