Attention, grosse révélation! Autant ne pas tergiverser: outre des collaborations peu usuelles (notament pour un groupe français) et grandement recommandables (entre autres et pour faire court, Paulo Furtado et..Earl Slick…qui fut un temps le comparse de Bowie, ces varois, qui ont enregistré ce disque dans une boite désaffectée proche de Toulon, frappent ici un grand coup d’un point de vue musical et stylistique.
Entre tubes à la Franz Ferdinand (« Babe doll« , excellent titre introductif et son refrain obsédant), penchants post-punk et énergie, groove dédié au dancefloor, HIFIKLUB trouve son équilibre et nous livre là dix pépites immédiatement séduisantes.
On pense évidemment à la formation d’Alex Kapranos, d’autant que le second titre, « First class fake cowboy« , évoque aussi les Ecossais; mais le groupe ne s’arrête pas à cette unique réference, loin s’en faut. Sur ce même morceau,des dérapages noisy l’inscrivent dans une démarche 90’s au parfum enivrant, ce qui est également le cas sur le trépidant « Action reaction« , p+++++ de morceau free doté d’un sax déchiré et alternant avec brio passages fougueux et moments plus modérés. Instrument que l’on retrouve plus percutant encore sur « Human monster« , morceau énormissime qui fait le pont entre époque actuelle et épopée Stogienne singularisée par les interventions d’un saxo complètement explosé, libre d’expression et d’un grand apport s’agissant des compos du groupe. Chaque chanson possède ses particularités, tant et si bien que l’on pourrait décrire chacun de ces titres et s’y attarder, à commencer par ce « Records made from records » imparable, ou ce « Saro Jane » nuancé, orné d’éléments presque country/jazzy décisifs et élégants. Ou pour finir, ce « Ticket » court et incisif, sans omettre, faut t-il le rappeller, le reste, tout aussi brillant et marquant.
L’ombre de THE FALL plane lui aussi sur ce disque qui d’emblée se place dans le peloton de tête des albums consacrés à ce revival post-punk actuellement très prisé et qui peut, en certaines occasions, générer de bien bonnes choses. En l’occurence, c’est à une oeuvre de haut niveau que nous avons affaire, un brin arty sans toutefois égarer l’auditeur, toujours parfaitement maitrisée malgré la richesse du panel exposé, que l’on ne peut qu’écouter et réécouter avec un plaisir jubilatoire.
A découvrir très vite donc, avec la garantie d’une satisfaction totale et durable.
Entre tubes à la Franz Ferdinand (« Babe doll« , excellent titre introductif et son refrain obsédant), penchants post-punk et énergie, groove dédié au dancefloor, HIFIKLUB trouve son équilibre et nous livre là dix pépites immédiatement séduisantes.
On pense évidemment à la formation d’Alex Kapranos, d’autant que le second titre, « First class fake cowboy« , évoque aussi les Ecossais; mais le groupe ne s’arrête pas à cette unique réference, loin s’en faut. Sur ce même morceau,des dérapages noisy l’inscrivent dans une démarche 90’s au parfum enivrant, ce qui est également le cas sur le trépidant « Action reaction« , p+++++ de morceau free doté d’un sax déchiré et alternant avec brio passages fougueux et moments plus modérés. Instrument que l’on retrouve plus percutant encore sur « Human monster« , morceau énormissime qui fait le pont entre époque actuelle et épopée Stogienne singularisée par les interventions d’un saxo complètement explosé, libre d’expression et d’un grand apport s’agissant des compos du groupe. Chaque chanson possède ses particularités, tant et si bien que l’on pourrait décrire chacun de ces titres et s’y attarder, à commencer par ce « Records made from records » imparable, ou ce « Saro Jane » nuancé, orné d’éléments presque country/jazzy décisifs et élégants. Ou pour finir, ce « Ticket » court et incisif, sans omettre, faut t-il le rappeller, le reste, tout aussi brillant et marquant.
L’ombre de THE FALL plane lui aussi sur ce disque qui d’emblée se place dans le peloton de tête des albums consacrés à ce revival post-punk actuellement très prisé et qui peut, en certaines occasions, générer de bien bonnes choses. En l’occurence, c’est à une oeuvre de haut niveau que nous avons affaire, un brin arty sans toutefois égarer l’auditeur, toujours parfaitement maitrisée malgré la richesse du panel exposé, que l’on ne peut qu’écouter et réécouter avec un plaisir jubilatoire.
A découvrir très vite donc, avec la garantie d’une satisfaction totale et durable.