Après le brillantissime « Shoegazing Kids » de STUCK IN THE SOUND et l’avènement du groupe du frère de José Reis Fontao, I AM UN CHIEN, loin d’être en rade sur le plan de l’originalité et de la qualité, voilà que le leader des Stuck se manfeste à nouveau avec ce projet mené en compagnie d’un pote, Romuald Boivin, qu’on sent doué d’un talent égal à celui de son comparse.
De cette collaboration nait pour l’heure ce quatre titres de haute volée, qui à l’image des groupes précités se veut porteur d’une identité affirmée et revendiqués, et pourrait, pour situer, se placer à mi-chemin des deux formations des frérots.
On trouve en effet sur ce disque, pour débuter, un « I hate You! » renversant, qui semble trouver un bel équilibre entre l’allant des Stuck et le côté plus électro d’ I am un chien, la voix singulière de José amenant un surplus d’intérêt à cette entrée en matière déja probante. Des guitares obsédantes et finement ciselées répondent avec brio à des séquences, donc, électro et qui vous filent un envie irrémédiable de remuer le bassin.
Passé cette petite pépite, on tombe sur un « Battles » lui aussi chatoyant, entrainant aussi, qui à l’image du premier morceau, donne l’impression d’amener les époques, et les styles, à croiser le fer pour un résultat bien au dessus de la moyenne. Pop, rock, électro, new ou cold-wave; on ne sait plus très bien où on en est et c’est finalement ce qui fait l’intérêt de ce disque qui même tout cela avec panache et suscite une envie pressante d’en savoir, et d’en entendre, plus.
On pousse donc l’écoute pour arriver à ce « Never seen a girl… » gentiment jazzy, très classe, aussi court que marquant, et pour finir, un « Jenny go » lui aussi de toute première qualité. Sur ce titre, on oscille entre psychédélisme, parties enlevées, rock à la fois tranchant et spatial, alternés et imbriqués avec maitrise et ingéniosité. Un break presque dub vient valoriser le tout, José y allant à nouveau de son intervention décisive au chant, parfaitement adaptée à la trame singulière et bien pensée de son acolyte Romuald.
La valeur et la singularité de ces quatre réalisations fait d’ailleurs qu’on y revient de façon quasi-systématique, en finissant par regretter, justement, qu’il n’y ait ici que quatre chansons à se mettre sous la dent.
Qu’à cela ne tienne, on sait déja à l’écoute que la suite sera fournie et brillante et en attendant, on se régale de cette carte de visite étincelante.
De cette collaboration nait pour l’heure ce quatre titres de haute volée, qui à l’image des groupes précités se veut porteur d’une identité affirmée et revendiqués, et pourrait, pour situer, se placer à mi-chemin des deux formations des frérots.
On trouve en effet sur ce disque, pour débuter, un « I hate You! » renversant, qui semble trouver un bel équilibre entre l’allant des Stuck et le côté plus électro d’ I am un chien, la voix singulière de José amenant un surplus d’intérêt à cette entrée en matière déja probante. Des guitares obsédantes et finement ciselées répondent avec brio à des séquences, donc, électro et qui vous filent un envie irrémédiable de remuer le bassin.
Passé cette petite pépite, on tombe sur un « Battles » lui aussi chatoyant, entrainant aussi, qui à l’image du premier morceau, donne l’impression d’amener les époques, et les styles, à croiser le fer pour un résultat bien au dessus de la moyenne. Pop, rock, électro, new ou cold-wave; on ne sait plus très bien où on en est et c’est finalement ce qui fait l’intérêt de ce disque qui même tout cela avec panache et suscite une envie pressante d’en savoir, et d’en entendre, plus.
On pousse donc l’écoute pour arriver à ce « Never seen a girl… » gentiment jazzy, très classe, aussi court que marquant, et pour finir, un « Jenny go » lui aussi de toute première qualité. Sur ce titre, on oscille entre psychédélisme, parties enlevées, rock à la fois tranchant et spatial, alternés et imbriqués avec maitrise et ingéniosité. Un break presque dub vient valoriser le tout, José y allant à nouveau de son intervention décisive au chant, parfaitement adaptée à la trame singulière et bien pensée de son acolyte Romuald.
La valeur et la singularité de ces quatre réalisations fait d’ailleurs qu’on y revient de façon quasi-systématique, en finissant par regretter, justement, qu’il n’y ait ici que quatre chansons à se mettre sous la dent.
Qu’à cela ne tienne, on sait déja à l’écoute que la suite sera fournie et brillante et en attendant, on se régale de cette carte de visite étincelante.