Réédition du premier album studio des REPLACEMENTS de Paul Westerberg, ce disque est une véritable mine et regorge de morceaux furieux et impétueux, emmenés par la voix ici très punk de Westerberg. Il étend ce permier jet légendaire, lui donnant un intérêt supplémentaire, et le remet parfaitement au goût du jour.
Le tempo est très souvent soutenu, les guitares livrent des riffs sans fioritures et des solis courts et efficaces, si bien que l’on se retrouve vite sous l’emprise de ces titres colériques.
Toutefois, les REPLACEMENTS ne se contentent pas de répéter, de façon aisée et convenue, ce schéma un peu trop linéaire et simpliste pour convaincre sur la durée.
Ainsi, on peut entendre une jolie ballade (« If only you were lonely » en toute fin d’album, digne du Dylan des grandes heures), tandis que « Basement jam » offre un blues fin et joliment exécuté par le sieur Westerberg et ses complices. Ou « Johnny’s gonna die« , mid-tempo savoureux, met en valeur un rock tempéré, orné de superbes parties de guitares. Et autour de cela, sur la seconde partie du disque, des démos et outtakes permettent d’écouter des titres sous une forme différente, souvent marquée par cete rage punk qui poussait le groupe à sés débuts.
Ce sont en tout trente et un morceaux qui s’offrent à nous, aucune baisse de régime n’étant à relever, et le son se montrant parfaitement juste; digne de l’esprit punk des Replacements, sans être trop « sale » ni trop arrondi.
Et dès « Takin a ride« , premier d’une série d’une première dizaine de morceaux offensifs, le groupe nous emporte dans son tourbillon énergique et vindicatif, constitué de chansons quasiment toutes indispensables, aux airs prononcés de classiques du genre. Et l’on se rend compte, ce qui est appréciable avec les rééditions telles que celle-ci, que cet album est un opus qui, à n’en pas douter, a influencé et continuera d’influencer une pléthore de groupes de tous âges, connus ou pas.
Un classique donc, puisque c’est ainsi qu’on qualifie ces oeuvres-là…et une foutue série de morceaux épatants, dont ce « Kick your door down » qui reste mon préféré d’entre tous.
Le tempo est très souvent soutenu, les guitares livrent des riffs sans fioritures et des solis courts et efficaces, si bien que l’on se retrouve vite sous l’emprise de ces titres colériques.
Toutefois, les REPLACEMENTS ne se contentent pas de répéter, de façon aisée et convenue, ce schéma un peu trop linéaire et simpliste pour convaincre sur la durée.
Ainsi, on peut entendre une jolie ballade (« If only you were lonely » en toute fin d’album, digne du Dylan des grandes heures), tandis que « Basement jam » offre un blues fin et joliment exécuté par le sieur Westerberg et ses complices. Ou « Johnny’s gonna die« , mid-tempo savoureux, met en valeur un rock tempéré, orné de superbes parties de guitares. Et autour de cela, sur la seconde partie du disque, des démos et outtakes permettent d’écouter des titres sous une forme différente, souvent marquée par cete rage punk qui poussait le groupe à sés débuts.
Ce sont en tout trente et un morceaux qui s’offrent à nous, aucune baisse de régime n’étant à relever, et le son se montrant parfaitement juste; digne de l’esprit punk des Replacements, sans être trop « sale » ni trop arrondi.
Et dès « Takin a ride« , premier d’une série d’une première dizaine de morceaux offensifs, le groupe nous emporte dans son tourbillon énergique et vindicatif, constitué de chansons quasiment toutes indispensables, aux airs prononcés de classiques du genre. Et l’on se rend compte, ce qui est appréciable avec les rééditions telles que celle-ci, que cet album est un opus qui, à n’en pas douter, a influencé et continuera d’influencer une pléthore de groupes de tous âges, connus ou pas.
Un classique donc, puisque c’est ainsi qu’on qualifie ces oeuvres-là…et une foutue série de morceaux épatants, dont ce « Kick your door down » qui reste mon préféré d’entre tous.