Trio originaire de Philadelphie, STINKING LIZAVETA se distingue tout d’abord par sa composition (guitare, contrebasse, batterie), ce qui fait que d’emblée, on peut s’attendre à un album décalé, sans toutefois pouvoir se prononcer sur le nature du contenu.
En passant à l’écoute donc, on est surpris, emporté je dirai même, par ces atmosphères parfois heavy, tantôt plus jazzy, voire psyché (superbe « Sacrifice and bliss » à mi-chemin de l’album, qui trouve magistralement sa place entre plages psyché et envol métal bien tenu), ou joliment acoustiques (« We will see« ) tout en gardant une base liée à une puissance « guitaristique » toujours juste, jamais excessive et qui parvient à ne pas sombrer dans des tics métal criards et indésirés.
Ce côté métal, STINKING LIZAVETA en fait l’un des éléments de son univers, les fondements même de celui-ci, en l’accomodant à plusieurs sauces sans oublier en certaines occasions (« Autochtony! Autochtony!« ) de le laisser quasiment à nu afin qu’il s’exprime pleinement.
Les entrelacs rythmiques amènent un plus au disque (« A day without a murder« ) et l’absence de chant ne constitue nullement un obstacle à l’évolution du trio à travers les morceaux de ce disque. Au contraire, son savoir-faire instrumental est mis en exergue et impressionne par ce qu’il engendre, tandis que la puissance de frappe de la guitare de Yanni Papadopoulos fait feu de tout bois (« Zeitgeist,the movie« ) et démontre une virtuosité, tout comme celle de ses deux acolytes, parfaitement mise au service du collectif.
Les titres mélodiques (« When I love you« , posé et charmeur) sont aussi complets que le reste et apportent ce petit plus qui fera de cet album, s’il ne reste pas dans l’anonymat (et ce serait injuste et dommage) un classique du style. Et les breaks imposés sont eux aussi parfaitement en place (« Trouble mountain« ), ce qui fait qu’à l’arrivée, toutes les conditions sont réunies pour produire un disque qui marquera les esprits, et dont le côté inédit fait qu’il saura durer. Sachant que, STINKING LIZAVETA étant plutôt prolifique, de belles surprises nous attendent encore à l’avenir.
En passant à l’écoute donc, on est surpris, emporté je dirai même, par ces atmosphères parfois heavy, tantôt plus jazzy, voire psyché (superbe « Sacrifice and bliss » à mi-chemin de l’album, qui trouve magistralement sa place entre plages psyché et envol métal bien tenu), ou joliment acoustiques (« We will see« ) tout en gardant une base liée à une puissance « guitaristique » toujours juste, jamais excessive et qui parvient à ne pas sombrer dans des tics métal criards et indésirés.
Ce côté métal, STINKING LIZAVETA en fait l’un des éléments de son univers, les fondements même de celui-ci, en l’accomodant à plusieurs sauces sans oublier en certaines occasions (« Autochtony! Autochtony!« ) de le laisser quasiment à nu afin qu’il s’exprime pleinement.
Les entrelacs rythmiques amènent un plus au disque (« A day without a murder« ) et l’absence de chant ne constitue nullement un obstacle à l’évolution du trio à travers les morceaux de ce disque. Au contraire, son savoir-faire instrumental est mis en exergue et impressionne par ce qu’il engendre, tandis que la puissance de frappe de la guitare de Yanni Papadopoulos fait feu de tout bois (« Zeitgeist,the movie« ) et démontre une virtuosité, tout comme celle de ses deux acolytes, parfaitement mise au service du collectif.
Les titres mélodiques (« When I love you« , posé et charmeur) sont aussi complets que le reste et apportent ce petit plus qui fera de cet album, s’il ne reste pas dans l’anonymat (et ce serait injuste et dommage) un classique du style. Et les breaks imposés sont eux aussi parfaitement en place (« Trouble mountain« ), ce qui fait qu’à l’arrivée, toutes les conditions sont réunies pour produire un disque qui marquera les esprits, et dont le côté inédit fait qu’il saura durer. Sachant que, STINKING LIZAVETA étant plutôt prolifique, de belles surprises nous attendent encore à l’avenir.